L'oisiveté est probablement mère de toutes les inspirations... en tout cas en ce qui me concerne.
Dimanche, profitant de cette petite fenêtre de calme dans la période de vacances et comme j'attendais le bon vouloir de mon ordinateur poussif, je gribouillais... comme d'hab.
Seulement, ce jour-là, c'était avec du pastel, médium que j'utilise très très... très rarement.
Le problème : que faire ?
C'est alors que j'ai foncé au salon pour décrocher du mur la seule oeuvre que j'ai achetée... un petit pastel de mon ami Théo De Mol.
Je vous laisse le soin de lire sa biographie dans cet article déjà ancien :
C'est d'ailleurs lors de cette expo que je lui avais acheté ce petit pastel.
Depuis, Théo a abandonné ce médium pour les joies de la peinture à l'huile, en tout cas c'est ce qu'il m'avait dit lors de notre dernière rencontre.
Bref, je me suis outrageusement (et très mal) inspiré de son tableau, comme il se le dira certainement en lisant cet article.
Voyez plutôt :
taille du pastel : 23,0 x 11,5 cm
réalisé dans un espace découpé dans mon sous-mains et qui correspondait à l'article déjà publié : " Falaises... naturelles ou artificielles ? "
Comme il s'agissait de la dernière feuille du bloc, le carton gris de soutien qui transparaissant convenait parfaitement à l'emploi du pastel.
Vu de près cela donne :
et si vous la préféré encadrée :
clic sur les deux images... vous savez !
l'encadrement est virtuel, bien entendu.
Voilà, c'est tout pour l'instant car dès demain lundi (hier quand vous lirez l'article), je referme la fenêtre dessin pour m'occuper de mon petit-fils, passe-temps plus fatigant certes mais tout aussi agréable, si pas plus !
Allez, zou ! à ciao, ciao !