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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 09:15

Allez donc savoir pourquoi on a appelé cet endroit comme ça ?  Ce ne sont pas les Voûtes qui sont en cause, ça on comprend, c'est le terme de RUE !

Donner le nom de rue à cet assemblage de niveaux différents, séparés par des escaliers, où il ne serait pas possible d'évoluer à trois de front et qui me semble fort... être une impasse !

Bon, ben, c'est comme ça !

Cet endroit, qui doit être le bonheur des préposés des postes, fait encore partie de la " vieille ville " et pourtant on n'y croise pas un chat... enfin, c'est une expression car un chat, j'en ai vu un :

  2011-11-13-002

Très beau... et très calin aussi ! 

Or donc, j'allais pousser plus avant mon exploration lorsque je me suis fait choper par une brave vieille (quand je dis " vieux " de quelqu'un c'est qu'il a au moins cinq ans de plus que moi !) et avant que j'eus pu me confondre en excuses d'investir ainsi son espace de vie, elle m'a racconté la moitié de son existence, avec ses bonheurs... pas beaucoup, et ses malheurs... innombrables... ce qui fait que je ne saurais jamais si c'est bien une rue ou une impasse car après, je me suis sauvé vite fait bien fait !  

 

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2011-11-13-001

Aquarelle, marqueur noir et pastel gras

 

Bon, demain est un autre jour !

à ciao, ciao ! 




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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 09:00

La Casa Vecchia, ou vieille maison pour qui ne traduirait pas, est un magasin et comme je n'ai pas l'habitude de faire de la pub gratuite ( ni même rémunérée...) je vous renvoie à Google si vous désirez savoir ce qu'ils y vendent.

Non. J'ai appelé cet article de ce nom parce que sur la photo, c'est ce qui apparaît et comme je serais bien en peine de vous nommer la ruelle que je vais vous représenter et qui doit donner sur la rue des frères Bartoli...

vous me suivez ?

Bien !

Lumières et ombres, encore et toujours mais ce sera le cas dans toute la ville, je vous ai déjà dit le pourquoi.

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2011-11-11-001

Aquarelle et marqueur noir

 

Bon, m'en vais continuer à me promener dans mes photos ! 

à ciao, ciao ! 

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9 novembre 2011 3 09 /11 /novembre /2011 09:00

Dans la vieille ville de Sartène, la plupart des immeubles sont bâtis avec le grès de l'endroit ce qui, avec l'étroitesse des ruelles et le fait que le soleil ne peut y pénétrer à coeur que lorsqu'il est exactement dans l'axe, donne une ombre fraîche et très recherchée.

Oui mais voilà... ça ne m'arrange pas toujours pour peindre !

Alors... une ruelle (sombre) la foule (ça devient une habitude mais impossible de l'ignorer... elle me cache tous les détails !) et au premier plan, un homme qui regarde les étalages... si si, ces trous dans le mur sont bien des vitrines !

Son épouse, quant à elle l'interroge : " t'as une idée où on va aller manger ce midi ? " et ses mots se répercutent sur les façades qui en ont entendu d'autres !...

C'est vrai ! Pourquoi diable venir à Sartène si ce n'est pour manger ?

Tous le monde se presse donc là où les restaurants offrent leurs cartes aux regards inquisiteurs ainsi que devant et dans les incontournables boutiques à souvenirs.

2011-11-09-002

Tous, absolument tous... sauf moi... ignorent cette magnifique porte oubliée des hommes et travaillée par le temps : 

2011-11-09-003

 

Bon, ben c'est pas le tout mais j'ai faim, moi !... et puis ça me fera quand même une page complète dans mon carnet !

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2011-11-09-001

aquarelle, marqueur noir et pastel gras

 

Allez, zou ! Ne nous laissons pas abattre, continuons notre promenade.

Chérie ?... t'as choisi un resto ?... et t'as pensé aux souvenirs pour les enfants ?...

à ciao, ciao ! 

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 09:00

Sartène, ce sont bien sûr des montées, des descentes, des passages voûtés ainsi que des rues et ruelles plus ou moins étroites, voire très étroites.

Rien de bien nouveau sous le soleil, me direz-vous, c'était déjà le cas pour Calvi et ensuite pour Bonifacio... alors... Sartène ?...

D'accord ! mais moi, je ne m'en lasse pas car là où tout est presque plat et nouveau, comme à Propriano mon point de chute, je me fatigue vite.  Hors, ici, je peux me promener pendant des heures... tout est sujet à photos.

Comme dans cette rue.

D'un côté, une très vieille porte sur un tout aussi vieux bâtiment.  Les années, le soleil et le vent ont patinés ces vestiges.

Presque en face, sur l'autre trottoir, dans un creux entre des maisons... mais regardez plutôt !

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2011-11-07-001

Aquarelle, marqueur noir et pastel gras.

 

Dans le fond, on devine une grille qui doit dissimuler une petite chapelle privée devant laquelle un coffre en bois est placé.

La porte au-dessus est, quant à elle, bien entretenue. Vernis et tout et tout.

Heureusement, le crépis du mur montre les ravages du temps.

Faudra pourtant que je m'applique à vous présenter une ruelle dans sa verticalité intégrale et non des détails de détails comme le sont ces deux crobarts.

Allez, zou ! Bonne semaine à tous ! 

à ciao, ciao ! 

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5 novembre 2011 6 05 /11 /novembre /2011 09:00

... les allochtones touristent à tout va !

D'accord, ce verbe n'existe pas mais, si les pêcheurs pêchent, si les travailleurs travaillent et si les crépis décrépissent, que font les touristes ?... Hein ?  Je vous l'demande !

Donc pour moi, les touristes, allochtones par essence, touristent !  POINT !

Bien plus sérieusement, Sartène me pose un problème et non des moindres car toutes les rues sont étroites et les maisons très hautes alors que mon carnet préfère nettement les vues en format " paysage "  à celles au format " portrait ".

Il faudra donc que je trouve une solution comme dans cette vue de détails :

 

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2011-11-05-001

Aquarelle, marqueur noir et pastel gras

un passage voûté, un travailleur s'activant dans la lumière du petit matin et il n'en faut pas plus pour que moi, touriste lambda, je clic-clic-clic à tout va !

Je n'ai pas pu résister à l'envie de vous montrer la décrépitude des crépis car, outre les formes étranges des fissures, les couleurs sont toujours très intéressantes pour le coloriste que je prétends être, même si en cette matière, mes ambitions vont souvent au-delà de mes capacités.

Bon, il me faudra résoudre ce casse-tête des ruelles étroites !

En attendant,

à ciao, ciao ! 

 




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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 09:00

Ce n'est pas moi qui le prétends mais un certain Prosper... comment ça " Youp-là boum ? " 

Mais non voyons !... Mérimée, le Prosper ! 

Un écrivain.

C'est indiqué partout.  Dans les guides, à l'entrée de la ville et même dans Wikipédia que certains s'imaginent, à tord, être LA référence absolue.

- Sartène, c'est en Corse, ça c'est vrai.

- Les maisons sont hautes et sans fioritures inutiles, c'est tout aussi vrai.

- La ville est accrochée à la montagne...

... oui mais en Corse, c'est très courant vu que l'île est une immense montagne sortie de la mer... alors ?... pourquoi diable serait-elle plus Corse que les autres ?

I don't know !

Wouah ! J'ai enfin réussi à placer la seule expression anglaise que je connaisse !... et dans un article parlant de la Corse de surcroît !!!

J'en connais un qui doit se retourner dans son caveau.

Wonderful !...

Bon, et Sartène dans tout ça ?

Ben la voilà, vue de la route qui me ramenait de Bonifacio.  Enfin, c'est juste l'impression ressentie car je n'ai pas comparé le nombre de maisons du dessin et de la photo !

 

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2011-11-03-001-copie-1

Aquarelle, marqueur noir et pastel gras.

 

Ouais... c'est beaucoup moins wonderful tout à coup, car si Sartène est la plus Corse des villes corses, ce crobart est le plus moche des crobarts moches... ça contrebalance les choses !

Vais essayer de me rattraper dans les articles suivants.

J'ai vu dans mes photos quelques lumières... heu... wonderful ! 

à ciao, ciao !  




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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 09:00

Fallait bien terminer un jour avec cette ville !  Nous sommes donc redescendus sur le port et au bout du quai Scott à Portigliola, là où l'on embarque vers la Sardaigne, le soleil nous joue des tours et fait apparaître la ville haute et les remparts dans des couleurs irréelles.

Je vous montre (pour une fois) le développement de cette aquarelle.

 

Première passe de couleurs sur un dessin sommaire, histoire de définir les formes :

2011-11-01-001

 

Une fois sèche, j'applique une seconde passe pour accentuer certains tons.

2011-11-01-002


Et j'aurais dû m'arrêter là, car tout y est.

Cette vue pourrait correspondre à une aquarelle faite sur le motif, rapide et sans trop de détails, mais...

 

... mais je me suis acharné dans une troisième et dernière passe avec accentuation des tons et ajout de détails :

2011-11-01-003clic sur image = taille originale

Aquarelle et crayons aquarellables

qui confirme l'impression première et l'adage qui veut qu'on ne sait jamais jusqu'où on peut aller trop loin en aquarelle !!!


Pour moi, la seconde figure était bien meilleure, mais bon... le mal est fait, impossible de revenir en arrière.

Allez, zou ! On verra pour le reste où on va se rendre.

à ciao, ciao ! 

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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 09:00

Êtes-vous plutôt short ou jupe longue ?

Si je vous pose cette question d'apparence idiote c'est qu'en regardant mes photos dans le détail, histoire de trouver un sujet, le contraste entre ces deux accessoires vestimentaires m'a frappé.

Bonifacio, une ruelle donnant vers les remparts, des restos, des échoppes à cadeaux et dans le soleil... 

2011-10-30-002

 

 

... une jeune fille en short qui précède une dame en jupe longue.  Voilà donc un sujet tout trouvé.

Va encore falloir me taper le dessin de personnages, me suis-je dit !

Tant pis... c'est pour la bonne cause :

 

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2011-10-30-001-copie-1

Aquarelle, marqueur noir et pastel gras

 

Heu... il est bien entendu que la question qui constitue le titre et le début de l'article ne s'adressait pas aux messieurs ! 

Voilà, je vais redescendre vers le port et essayer de vous peindre une ambiance qui m'avait fortement impressionnée le matin même... on verra bien !

Bonne semaine à tous !

à ciao, ciao ! 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 09:00

Impossible d'y échapper ! 

Ils sont partout !

Ils nous entourent !

Leur haleine nous glace les os !...

 


LES CLIMATISEURS  SONT PARMI NOUS ! 

2011-10-28-002


Personnellement je préfère très nettement une terrasse ombragée à une salle climatisée mais peut-on reprocher à quiconque de préférer une maison fraîche en été à des chasseurs d'images nostalgiques et passéistes?

Revenons à ces ruelles que j'espérais typiques avec leurs arcs-boutants, méthode ancienne pour maintenir l'écartement nécessaire mais aussi, procédés permettant d'acheminer les eaux de pluie vers les citernes prévues comme réserves.

Dans ces passages étroits, impossible de ne pas les voir, les climatiseurs j'entends, car les arcs-boutants je ne voulais surtout pas les rater.

La photo ne peut ignorer cette concession à la modernité, me direz-vous, mais le peintre, lui... est-il tenu à les représenter ?

C'est selon !...

Perso, je vous l'ai déjà dit, j'ignore facilement tout ce qui me gêne dans une peinture mais là, c'était un sujet tout trouvé pour cet article.

Alors :

 

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2011-10-28-001-copie-1

Encre de chine avec rehauts d'aquarelle

 

Bon... d'accord !... c'est pas très ensoleillé comme vue, en tout cas ça ne reflète certainement pas ce que j'avais sous les yeux !

C'était juste un essai à l'encre de chine rehaussée d'aquarelle... à oublier au plus vite !  Demain je ferais plus ensoleillé... promis ! 

Reste une ou deux vues de Bonifacio à réaliser puis j'irai voir ailleurs si j'y suis pas !

à ciao, ciao ! 

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 09:00

Aujourd'hui, point de phobie, plutôt une constante délirante... l'attrait des vieilles portes sur la vieille chose que je suis.

Je pense donc que je ne vais pas beaucoup délirer sur la chose... y'a qu'à regarder !

 

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2011-10-26-001

Aquarelle, marqueur noir et pastel gras

 

Bon, je vais continuer à visiter ces ruelles bonifaciennes !

à ciao, ciao ! 

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Les enfants de l'Aïr

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