Je n'ai jamais fait mystère que si je m'étais mis à l'aquarelle, c'était pour réaliser un jour des carnets de voyages.

Donc, je passe pas mal de temps sur le net à regarder ce que font les autres, les vrais, les pros du carnet et des voyages !

C'est ainsi depuis la nuit des temps.  On pioche par-ci, on s'inspire par-là, on mixe le tout en fonction de ses possibilités artistiques et puis on pond quelque chose qui ne nous satisfait jamais pleinement.

Je n'échappe pas à cette règle.

Donc, l'autre jour, je consultais des sites, des images, de tout... jusqu'à l'indigestion et puis !!!

Et puis je suis " tombé" en arrêt devant cette image :

Cambogia par ELENA MONACO

(détails en cliquant sur son nom)

Autant dire que pour moi, c'est LE must, LE Graal, LE rêve inaccessible.

Elle effaçait toutes les autres, tout ce que j'avais vu avant.

Tout y est : un visage, des lumières, les coloris, la composition... rhaaaahhh ! j'envie son talent.

Je sais, le talent c'est 5% de prédisposition et 95% de travail !

Moi, j'ai peut-être ces 5% de prédisposition mais guère plus de 10% en ce qui concerne le travail... cherchez l'erreur.

85% de paresse.  C'est mon karma.

Donc, mon sous-mains était là, mon pinceau réservoir aussi, mes marqueurs également qui cotoyaient ma miniscule boîte d'aquarelle, d'où :

13,5 x 13,0 cm

J'ai modifié la composition, bien sûr.  Les éléments constitutifs aussi, ça se voit.

J'ai composé un visage imaginaire. J'ai même placé un texte par informatique tellement j'étais certain que mon écriture aurait bousillé l'ensemble.

Voilà, ce n'est certes plus la même chose mais c'est tellement proche de l'esprit du départ que je ne considèrerais jamais que c'est de moi.

Me suis bien amusé quand même. Merci Elena !

à ciao, ciao !

Sur l'Île aux Moines (Golfe du Morbihan), il n'y a jamais eu ni  moines ni moinillons, c'est bien connu !

Par contre, sur l'île aux Moines il y a des fleurs qui se prennent pour des baobabs... si si !

lumière éclatante, maison blanche en arrière plan au toit reflétant la luminosité du ciel et les efflorescences de ces acanthes ( acanthus mollis pour les puristes) dépassant les deux mètres qui resemblaient à des colonnes corinthiennes délimitant le sentier.

Bon... je vois bien que vous ne me coyez pas ! Et celle-ci alors ?

toujours sur l'île aux Moines mais autre endroit.

Elle fait à peu près ses trois mètres, non ?

Bon, à plus !

à ciao, ciao !

Ouais !!! T'as dessiné un chinois !

Ce fut l'exclamation de mon petit-fils en regardant mon sous-mains.

Moi, j'avais surtout fait un crobard sans trop réfléchir à ce qu'il pourrait représenter mais... puisqu'il le disait...

Va pour son " chinois "

Je le découpe du sous-mains.  Je l'habille d'un bout de carton, histoire qu'il ne se sente pas trop seul.

Il rejoindra plus tard les pages de mon agenda où j'ai déjà collé pas mal de crobards orphelins.

Je vous présente donc :  

Chinoiserie.

4,0 x 19,0 cm sans le carton

11,0 x 19,0 cm tout compris.

Je n'ai pas caché l'autre moitié car elle n'existait pas, tout simplement.

Allez, bon dimanche, bonne future semaine et...

à ciao, ciao !

Dans l'article précédent, j'évoquais un cap à l'ouest en crobardant un petit caséyeur sorti tout droit de mes rêves. Aujourd'hui je traverse d'Ouest en Est pour vous ballader en Alsace, à Ribeauvillé plus précisément : 

En descendant de la ville haute

Crobard rapide dans le style carnets de voyages que je ne ferais jamais sur place vu l'affluence dans ces lieux touristiques.

Pas des plus réussi, mais bon... tant pis.

Allez, bonne semaine...

à ciao, ciao !

ou plus sérieusement : étude 20140122.

Bon, ce n'est pas le nombre d'études réalisées mais la date à laquelle je l'ai commise sur mon sous-mains.

Mercredi soir donc, toujours une grosse envie de peindre mais pas de dessiner, alors devant une aqua de Stephen Scott Young largement modifiée et retravaillée sous un logiciel ad oc, j'empoigne mon pinceau réservoir badigeonné de jaune oxyde de chez Rembrandt et je m'y mets :

bien sûr, là vous voyez la version finale.

L'avantage avec le sous-mains réside dans le fait que si ça ne me convient pas, je déchire la page et ça ne me coûte qu'un chouïa de couleur.

Voilà donc recadrée, l'étude sus-dite :

dim : +/- 18,0 x 15,0 cm

Semble bien fatigué, ce petit marchand de journeaux.

Autre chose : comme je me suis rendu compte que ces satanés sous-mains prennent une place de plus en plus conséquente sur ce blog, je leurs ai consacré une nouvelle catégorie dans laquelle je vais essayer de replacer tous les petits et grands délires déjà réalisés sur ce support.

catégorie : SUR MES SOUS-MAINS

que vous trouverez dans la colonne de droite.

Allez, zou !

à ciao, ciao !