Dimanche, petite mais bonne surprise, Philippe Perennou me communique l'adresse de son blog dans un com d'un article qui date... de plus de deux ans.

Je m'en vais relire la chose et la magie des lieux opère.

J'ai donc retrouvé une photo réalisée juste après être passé dans sa galerie en 2010.

D'accord, c'est une vue peu courante de cette ville et je me demande s'il reconnaîtra l'endroit :

Pour lui, ça ne devrait pas être trop difficile !

J'ai donc placé un lien dans la rubrique : " les sites que j'aime " car il est vrai que j'apprécie assez ses peintures pour avoir eu l'audace d'en copier une (pour mon usage personnel, il va sans dire !)

Il y représente sa Bretagne, mais pas que.  Il nous montre aussi Venise, ville hors du temps que j'adore et puis des ports !... et quels ports !!!

Des aquarelles, reprises sous la rubrique " marines" qui me laissent complètement et définitivement jaloux de son talent !

A l'époque, sa galerie était à l'entrée de la place comme en témoigne cette vue de Google Street View.

J'espère qu'elle s'y trouve toujours mais en cliquant sur l'image vous pourrez accéder à son blog avec une autre adresse à Quiberon.

Allez, zou ! J'arrête de rêver à Pont-Aven et je retourne à la grisaille du Nord !

à ciao, ciao !

En regardant l'aquarelle consacré à une Balagne imaginaire, je me suis dit : " c'est c... ! J'ai tout ce qu'il me faut juste derrière moi ! "

Parfois je me maltraite intérieurement.

Donc, dans ma bibliothèque un très beau livre des éditions Arthaud :

Villages perchés de France

de Christian Lefébure, photos de Dominique Repérant.

Je l'ai donc feuilleté pour choisir un détail d'une vue de Ménerbes.

Il me restai une chute de feuille que j'ai agrafée sur une planche et :

Aquarelle et marqueur noir

13,0 x 26,5 cm

J'ai failli écrire " Ménerve" .

Pourtant je suis très détendu et cette petite aquarelle ne m'a pas énervé du tout du tout !

Allez, zou ! 

à ciao, ciao ! 

Vais pas me casser la nénette  sur cette pensée hautement philosophique, j'ai juste gribouillé sur la feuille évoquée l'autre jour.

Vais pas développer, y'a rien à dire dessus :

Allez, zou ! Bon dimanche à tous !

à ciao, ciao !

Je passais par là et le soleil aussi qui donnait un air de fête à cet endroit pourtant passablement sinistre lorsque la grisaille s'installe.

Petit clic avec mon GSM et petite repro dans mon cahier d'écolier :

aquarelle, cire noire et marqueur noir

clic = taille réelle

difficile de rendre cette lumière et pourquoi donc n'en montrer qu'une partie ?

Regardez plutôt :

Je ne trouve pas l'ensemble très beau !

C'était juste cette impression de lumière qui m'a attirée en passant, sans compter que le côté non engageant du panneau incite peu à pénétrer les lieux pour une promenade bucolique.

Pourtant, des travaux... que nenni, et depuis pas mal d'années déjà ! 

allez, zou !

à ciao, ciao !

Dernièrement je m'étais amusé avec les quelques rares pastels en ma possession, voir les articles " Les Automnales " et il y a aujourd'hui huit jours, j'avais fixé sur un panneau une feuille au dos de laquelle figurait une aquarelle loupée.

Mon but, interpréter au pastel une photo d'un calendrier de  William Moureaux, acheté il y a tout juste un an en son magasin de Sartène.

J'ai vite compris mon erreur, mais je me suis acharné.

Voici le résultat :

feuille : 34,0 x 52,0 cm

Alors, où est l'erreur ? - me direz-vous.

Elle est dans le choix du papier ! 

Celui employé est un " grain torchon " et ce type de texture qui ne me convenait déjà pas trop pour le travail de l'aquarelle se révèle immonde pour celui du pastel.

Voyez de plus près :

Le pastel rechigne à aller se loger dans les alvéoles ce qui laisse des points blanc disgracieux, et je ne vous parle pas des détails pratiquement impossible à obtenir.

Tant pis !  L'après-midi était ensoleillée et je me suis quand même bien amusé à réaliser cette vue... dans mon jardin.

Ne dit-on pas qu'on apprend plus de ses échecs que de ses réussites et puis, cette vue d'un ruisseau dans la forêt de Vizzavona devrait faire plaisir à un ami virtuel qui me parle si souvent de " sa chère Calista ! " 

Allez, bon week-end à tous !

à ciao, ciao !