Gottfried Salzmann

13,5 x 13,0 cm - Mine 6B

Je ne sais si Gottfried Salzmann a jamais mis les pieds au Tréport mais personnellement, lorsque j'étais sur les falaises et que je regardais la ville en contrebas, je n'ai pu m'empêcher de penser à ce photographe aquarelliste qui combine ses deux passions au grand dam des puristes des deux disciplines.

Moi, je ne suis pas puriste et j'aime assez son oeuvre que je trouve très originale.

Donc, à la balustrade des Terrasses, je pensais à lui en faisant cette photo :

Le Tréport et Mers-les-Bains

J'imagine que cette vue l'aurait inspiré. Tout y est, une certaine géométrie des formes et cette vue plongeante qu'il semble affectionner.

Je ne suis pas puriste, disais-je et de ce fait j'aime travailler mes photos.

Comme je reste malgré tout un grand paresseux, j'utilise pour ce faire un logiciel qui m'évite de me torturer les méninges.

Voici donc " MA " conception du Tréport :

Si j'avais été plus valeureux, j'aurais pu en faire une aquarelle mais à quoi bon se décarcasser.

Allez, zou ! M'en vais me reposer !

à ciao, ciao !

...

- Bonjour. Pourquoi viens-tu d'éteindre ton réverbère ?

- C'est la consigne, répondit l'allumeur.  Bonjour.

- Qu'est-ce que la consigne ?

- C'est d'éteindre mon réverbère.  Bonsoir.

Et il le ralluma.

- Mais pourquoi viens-tu de le rallumer ?

- C'est la consigne, répondit l'allumeur.

- Je ne comprends pas, dit le petit prince.

- Il n'y a rien à comprendre, dit l'allumeur. La consigne c'est la consigne.  Bonjour.

Et il éteignit son réverbère.

...

Le petit prince

Antoine de Saint-Exupéry

Gamin, je les regardais passer, les allumeurs de réverbères.

Jamais ils ne quittaient leurs vélos noir, les pilotant d'une main et tenant leur longue perche sur l'épaule de l'autre.

Je me suis toujours demandé ce qui entretenait cette flammèche qui sortait de la perche. 

A l'aide de cette dernière, d'un geste sûr, ils ouvraient le robinet situé sous l'espace vitré avant d'y introduire la perche et d'allumer le gaz.

La lumière jaillissait soudain. et innondait... le pied du réverbère.

Tout juste assez pour savoir qui vous égorgiez ou pour permettre aux chiens errants de ne pas les louper.

 Salut Antoine !  Mes amitiés au Petit Prince ! 

à ciao, ciao !

Ils sont tous passés près de lui sans même y jeter un regard, car ils n'avaient d'yeux, et d'objectifs, que pour les bateaux...

ou alors, pour les phoques...

pointe du Hourdel, baie de Somme

mais pas plus de phoques que de poil dans ma main... quoique, dans ma main....

chacun son trip, bien sûr !

Allez, zou !  à ciao, ciao !  

Coucou, me revoilou... du moins provisoirement.

Je fais un effort pour répondre à quelques amis qui se tracassaient ( si si, j'en ai ! Pas des masses mais quand même !)

Vous vous souvenez peut-être que je vous avais envoyé une carte virtuelle des falaises d'Ault puis, quelques jours plus tard, quelques photos des autres falaises de l'endroit.

C'était la semaine 21, quatre journées dans la Somme en chambre d'hôtes.

Allez, je vous file un clipboard des lieux visités :

Et puis, la semaine suivante, petit séjour forcé de quatre autres jours dans un hôtel de Tournai, le CHwapi, pour ne pas le citer.

Le personnel est aux petits soins pour les résidents, imaginez :

- prise de température, prise de sang, tension artérielle, perfusion... et j'en passe !  Les GO de l'endroit ne savent que faire pour vous être agréable.

Et puis souvent, ils vous emmènent à travers couloirs et ascenseurs vers d'autre GO qui vous passent dans des machines aux noms pas possible.

D'autres s'occupent de votre peau en vous badigeonnant d'une espèce de gel dont vous n'arrivez plus à vous défaire.

J'imaginais vraiment pas la balnéo des hôtels comme ça !

J'abrège, j'abrège !

La chambre à Saint-Véléry sur Somme, c'était ça :

et puis la vue avant d'aller me coucher, plutôt de ce style :

Tandis qu'à l'hôtel ( javais oublié mon appareil photo) la chambre c'était plutôt ça :

et oui, vous avez droit à mon tout premier croquis fait sur site mais je ne disposait que d'une vieille enveloppe jaunâtre et d'un bic à bout de souffle.

Désolé.

Bon... oublions !  Mais comme il me reste un boulot fou au jardin, si le temps me le permet et dès que mes forces seront revenues, je reviendrai vous faire un coucou plus marrant.

En attendant, je vais encore m'absenter un peu.

Z'inquiétez pas !

à ciao, ciao !

... la baie de Somme.

Je n'ai pas mis de timbre mais elle arrivera toujours bien à celui qui veut la recevoir.

Je ne vous mentais pas mais c'est plutôt le côté face qui devrait (peut-être) vous intéresser :

petite aquarelle sans prétention.

15,5 x 10,5 cm

Allez, je continue ! 

à ciao, ciao !