Je reviens donc sur ce fameux essai effectué dans mon carnet de voyage.
J'ai reçu dernièrement un magnifique carnet de croquis dont les pages ont sensiblement la même épaisseur et le même grain que celles du carnet déjà employé.
Voici cette petite merveille :
format des pages, 17,0 x 24 cm
un pur produit florentin comme l'indique l'étiquette du relieur en troisième de couverture.
Et là, j'ai les jetons ! C'est toujours ainsi ! C'est d'ailleurs probablement pour cela que je peinturlure sur toutes sortes de supports débiles car là, je me lâche sans arrière pensée.
Donc, en dernière page de ce nouveau carnet, premier essai :
clic sur image = taille réelle
médiums habituels.
Les réactions du papier sont pratiquement identiques à celle de l'ancien carnet.
J'empoigne donc ce dernier, j'y place quatre traits de fusain et puis j'applique une couche de fixateur pour ce type de produit.
Ensuite... ensuite, j'y place de l'aquarelle et comme je suis un indécrotable figuratif, je m'arrange pour que ça ressemble à quelque chose :
lorsque c'est sec, je scanne l'envers :
- premier, dos de l'aquarelle ci-dessus
- second, dos de l'aquarelle montrée dans l'article précédent, aquarelle sous laquelle une bonne couche de fixateur avait été pulvérisé.
conclusion : le fixateur n'empêche pas l'aquarelle de percer même si ce n'est qu'un petit peu... tout est à refaire !
Du coup, je repense à cette phrase d'un écrivain très célèbre dont j'ai complètement zappé le nom : " avant d'écrire, réfléchis à la beauté de la feuille blanche !"
Ecriture ou peinture, même combat, même angoisse !
Allez, zou !... on verra plus tard !
à ciao, ciao !